Le calme pesait sur l’abbaye en tant qu' un suaire. Le vent qui s’infiltrait par les fissures des murs semblait porter des murmures indistincts, à savoir si la diamant elle-même conservait la appel des âmes disparues. Le moine restait prostré amenées à le manuscrit, sa inhalation saccadée, les mains crispées https://franciscolwdkn.bluxeblog.com/65920911/l-encre-du-destin