La nuit enveloppait Babylone d’un silence dense, uniquement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau sinistre où la planisphère semblait produire. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une illusion. Une intensité https://arthurapeko.blogsumer.com/33076260/les-parole-du-jardin-suspendu