La gare était plongée dans une brume dense, un voilage épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de une passerelle indiquait minuit, l’heure juste du départ du train. Le passager se tenait stable, décidant de suivre l’immense matériel d’acier pessimiste qui sifflait mollement, https://erickgpsvw.snack-blog.com/33858151/les-numéros-du-destin