Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son rite, attendait que l’obsidienne parle à nouveau. La joyau black semblait absorber la lumière sélénite, pervibrer marqué par la pression du vent, et assez fréquemment, sans alerter, elle résonnait de cette https://rivervglqs.fare-blog.com/34040502/l-ombre-du-fabriqué-d-obsidienne