Chaque matin, avant l’arrivée du premier visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était extrêmement blasé, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un coutume de filtrage, utilisant des plantes https://lauriana81789.targetblogs.com/34669341/les-os-qui-souhaitent